Bébé Infernal
| Sujet: Présentation : Jankio ! Sam 31 Mai - 1:53 | |
| PRESENTATION • PRENOM : Jankio • ÂGE AU MOMENT DE LA MORT : 20 ans • NOM D'ARME : Kibö • FORME D'ARME/EQUIPEMENT/ETC. : Bô • LOCALISATION DU SYMBOLE : Au-dessus de l’avant-bras droit. • POUVOIR ASSOCIER A L'ARME : Augmentation des capacités physiques, au détriment cependant de la raison de l’utilisateur s’il en fait trop usage ! • DIEU : Hayato, Dieu de la Sagesse • AUTRE(S) : Cherche formateur, pas expert du tout, tout naze même concernant l’univers de Noragami (mais visionnage de l’anime en cours). J’ai mis le background en spoil parce qu’il est un peu longuet, ouais moi aussi j’ai un petit côté décorateur.
• PROVENANCE DE L'AVATAR : Fon Katekyo de Reborn • CODE : /
DESCRIPTIONS MORAL Jankio est d’un naturel calme, sage et protecteur envers les autres. Cependant, son amour pour la philosophie et les grands discours fait de lui un interlocuteur gênant. Jankio est un maître de l’ironie et quel que soit son véritable opinion, il aime adopter celui qui s’oppose à celui de ses interlocuteurs. Ils peuvent ainsi échanger et rendre la conversation bien plus stimulante à son goût. Un emmerdeur ? Non. La seule chose qui tend à faire perdre son calme à Jankio, c’est le combat. PHYSIQUE Jankio est de taille moyenne, il a de longs cheveux roux qu’il porte toujours attachés et de grands yeux bleu sombre. Il a les pommettes plutôt saillantes et les lèvres fines. Sa marque se situe sur le dessus de son avant-bras droit et il possède une énorme cicatrice en plein milieu de la poitrine. Ses muscles sont fins et bien dessinés et ses épaules assez larges. Jankio est généralement vêtu soit d’une robe de moine rouge qui ressemble à une tenue traditionnelle de moine bouddhiste soit d’une toge ou encore d’un kimono très sobre.
BACKGROUND - Background:
Jankio Mirard est né dans un petit village de l’Asie du Sud-Ouest, d’une mère occidentale et d’un père japonais. Ses deux parents trouvèrent la mort dans un accident de train alors que le bébé n’avait qu’un an et demi, aussi, Jankio n’a jamais connu ses parents et ne garde aucun souvenir d’eux. Sa garde fut confiée à son unique oncle qui éleva le petit garçon comme son fils. Cependant, cet Oncle était soldat dans la marine et souvent absent. Jankio fut très vite habitué à se débrouiller seul. Il allait seul à l’école à pied tous les jours et savait se servir d’un micro-onde. Il avait pour seule consigne de toujours faire attention aux autres, d’essayer de ressentir leurs intentions, d’aider ceux qui étaient dans le besoin, et de fuir sans hésiter les plus menaçants. Une voisine âgée passait de temps en temps pour vérifier que tout allait bien, et l’oncle de Jankio s’efforçait d’être le plus présent possible.
Mais un jour, le petit garçon fut repéré par un petit groupe de délinquants. Leurs intentions n’étaient pas si mauvaises, ils décidèrent simplement de suivre le petit jusque chez lui et puisqu’il était seul, le forcer à les laisser entrer afin de cambrioler la petite maison. Ils prirent donc l’enfant en filature. Le chemin fut long, car Jankio avait pris l’habitude de se promener en rentrant de l’école avant de se mettre à faire ses devoirs. Il faisait toujours un détour par le parc pour regarder les oiseaux puis il marchait vers le supermarché où il retrouvait Olaf, un vieil ivrogne mendiant avec qui il partageait son goûter, puis il rentrait chez lui se préparer une tasse de thé, fin prêt à boucler ses exercices au plus vite pour passer à la lecture, son loisir préféré.
Les délinquants commençaient à perdre patience, mais ils tinrent bon. Olaf remarqua que Jankio était suivis, il courut alors à sa suite et interpella le groupe de jeune. Il les engagea à cesser immédiatement ce jeu dangereux, mais il fut roué de coups et laissé pour mort dans le caniveau, en plein jour, devant plusieurs témoins qui n’osèrent ni intervenir ni appeler des secours ! Jankio quant à lui était déjà loin, inconscient de ce qui se tramait derrière lui. Ce n’est que lorsqu’il arriva chez lui et qu’il plongea la main dans son sac pour attraper les clés qu’il nota quelque chose d’anormal. Un « grand » venait de lui saisir le bras. Le peit Jankio entoura son sac et le tint fermement contre lui, il voulait à tout prix préserver la maison de son oncle. Malgré les menaces, il tint bon. Les six jeunes qui l’entouraient commencèrent alors à le frapper, plutôt gentiment au début, mais voyant que Jankio ne cédait pas ils s’emportèrent, ils ne comprenaient pas pourquoi ce gosse tenait tant à sa maison et était prêt à être blessé. Ils devinrent bien plus violents, et très vite, Jankio fut projeté au bas des escaliers. L’enfant, en larmes, n’eut alors pas d’autre choix que d’écarter les bras et de libérer son petit sac contenant les clés de la maison de son oncle.
Ses agresseurs l’insultaient et se moquaient de lui en lui arrachant son sac lorsque quelqu’un se montra. Il semblait être arrivé de nulle part, il était vêtu d’une simple robe rouge et son pas était si léger que personne ne l’avait remarqué. Derrière lui, Olaf, encore tout ensanglanté soufflait. Le mendiant cria à l’intention des agresseurs :
« - Lâchez ce gamin maintenant, c’est finis pour vous !
- Quoi tu vas appeler la police papy, ça ne t’a pas suffi tout à l’heure ? »
La voix de l’inconnu retentit alors :
« Partez maintenant s’il vous plait, je ne le répèterai pas »
La phrase avait été brève, mais elle était tombée juste et imposait une étrange forme de respect. Un petit silence suivis, seuls les sanglots de Jankio retentissaient. Les six jeunes furent piqués au vif. Leur chef jeta les clés de Jankio, il ne se préoccupait plus de la maison. Sa maigre autorité avait été remise en cause ! Deux d’entre eux sautèrent sur l’inconnu et commencèrent à le rouer de coups. Olaf prit la fuite tandis que son ami se faisait massacrer. Le passage à tabac dura trois bonnes minutes, mais l’homme ne s’effondrait toujours pas. Il répéta alors avec un sourire :
« Vous faites le mauvais choix, et empruntez le mauvais chemin. Libérez-vous de cette haine, partez s’il vous plait. »
Puis il réagit enfin. D’un coup au plexus il fit reculer l’un de ses adversaires, puis il saisit le poignet de l’autre et le tordit jusqu’à l’obliger à se coucher au sol. La confrontation s’emballait. Deux des délinquants sortirent un couteau, l’un avança vers l’inconnu, tandis que l’autre sauta vers Jankio toujours au sol. Et c’est lui qui fut stoppé le premier. L’inconnu en robe avait été si rapide qu’on ne l’avait presque pas vu, en un instant il avait saisi au vol le porteur du couteau et l’avait écrasé au sol avec force. Le second chargea mais son attaque fut retournée contre lui et il vola à quelques mètres. L’inconnu avait récupéré les deux couteaux. Les deux derniers attaquèrent en même temps en criant.
« Vous avez déjà perdu, votre esprit a renoncé, et vous avez peur. »
Ils furent vaincus comme les précédents. L’inconnus releva Jankio et s’occupa de lui jusqu’au lendemain. Lorsque l’enfant se réveilla, cet étrange homme au crâne rasé se tenait assis sur son lit avec deux tasses de thé. L’enfant ouvrit la bouche mais l’autre prit les devants.
« - Il n’y a pas eu de blessé, j’ai ramassé ta clé et je me suis permis d’entrer pour t’allonger ici et préparer ce thé. Tu as eu une rude soirée et ton comportement a été exemplaire, bravo Jankio !
- Et l’école ? Et Olaf ?
- Ne t’en fais pas pour l’école aujourd’hui, quant à Olaf, c’est lui qui est venu me chercher, il m’avait déjà beaucoup parlé de toi, en ce moment, il doit être retourné devant le supermarché avec sa bouteille de vin et sa boîte de sardines, tu vois, tout reprend son court. »
Jankio fondit en larmes dans les bras de cet homme qu’il ne connaissait pas, mais au bout d’une seconde, l’inconnu le repoussa en fronçant les sourcils. Aussitôt, Jankio cessa ses jérémiades. Il passa le reste de la journée au lit et le lendemain, son oncle rentra à la maison. Il fut surpris de trouver un inconnu chez lui mais lorsqu’il apprit toute l’histoire il remercia l’homme et l’invita même à diner. Peu après, l’inconnu se présenta enfin : il était moine.
Le moine faisait partie d’un Temple caché dans les montagnes, et il était partit faire le tour du monde afin de rencontrer et aider un maximum de personne, les apaiser et apporter la paix. Il s’appelait Twowol. Impressionné par l’attitude de Jankio, Twowol parla à son oncle. Il voyait bien que le petit garçon mourrait d’envie de le suivre et de découvrir ses secrets, et c’est ainsi que Jankio fut confié au moine à l’âge de huit ans. Ils rentrèrent directement au Temple et Jankio fut formé à la philosophie, la religion et les arts martiaux. Les moines du Temple étaient les maîtres d’un art martial unique au monde et dont l’efficacité était des plus redoutables.
Très vite, Jankio montra des capacités hors du commun pour cette discipline, il remportait tous les tournois organisé entre élèves du Temple. Ses maîtres furent forcés de lui porter une attention toute particulière sur tous les plans, autant pour satisfaire son incroyable progression que pour lui apprendre à maîtriser ses passions.
A l’âge de 16 ans Jankio dût effectuer son premier voyage initiatique. Il descendit de la montagne et rejoignit les premiers villages, là il répandit la paix et la sérénité, jusqu’à ce qu’il apprenne, alors qu’il était hébergé dans une petite ville et qu’il regardait la télévision, que l’armée menaçait son Temple ouvertement. Le Grand Prêtre était en discussion avec les généraux mais le gouvernement trouvait ces moines spiritueux adeptes des arts martiaux dangereux et les accusait de corrompre la jeunesse, aussi avait-il trouvé un prétexte pour raser le Temple : un litige sur la propriété des terres. Jankio pria et quitta la ville pour la prochaine.
Là il apprit que l’un des généraux participait à un grand tournoi d’arts martiaux. Le jeune homme s’inscrit et terrassa tous ses adversaires aisément. Il fut repéré par le général en question et celui-ci lui envoya ses hommes pour le blesser avant leur confrontation finale. Jankio put les vaincre, jusqu’à ce que d’autres arrivent, puis d’autres, et encore d’autres, dans la fureur du combat, l’adolescent ne comprenait pas pourquoi on s’en prenait à lui et il se défendit avec honneur, jusqu’à ce que la rage et la peur s’empare de lui, le généra lui-même se jeta dans la bataille et Jankio le tua. Il s’apprêtait à tuer les 10 autres hommes qui l’encerclaient lorsque Twowol fit irruption dans la mêlée et le maîtrisa. Jankio fut trainé jusqu’au Temple et enfermé pendant deux ans. Ensuite il put reprendre le court de sa vie, en se repentant chaque jour pour ses actes.
Mais alors qu’il était âgé de 20 ans, un terrible événement se produit. Le Temple fut attaqué, en pleine nuit, par des hommes portant des armes à feu. Tous les moines étaient exécutés un à un. C’était la débandade ! Jankio courut vers la grande salle pour secourir le Grand Prêtre et là il le surprit, accompagné de Twowol, discutant avec six hommes armés. Bien qu’ils soient déguisés en vulgaire bandits, les baïonnettes qui ornaient leur fusil étaient celles de l’armée.
Twowol repéra le garçon et lui fit signe de s’enfuir, mais rien n’y fit. Lui et le Grand Prêtre levèrent les mains en souriant puis ils furent abattus. Fou de rage, Jankio se rua sur les meurtriers. Son pas était désormais aussi léger que celui de Twowol et sa force aussi grande. Il tua sur le coup deux des hommes, au corps à corps, leurs fusils étaient bien inutiles. Il en tua encore deux, puis une vive douleur le prit à la poitrine. Il venait d’être poignardé par une baïonnette. Jankio maudit ces hommes, toute l’armée, ainsi que tout le pays, puis il fondit en larme en criant qu’il voulait vivre. N’osant l’achever, les soldats quittèrent le Temple en y mettant feu et en laissant le pauvre Jankio se vider de son sang. TEST RP - Test RP:
Il y a fort fort fort longtemps, bien avant la création du Temple de Neibal, vivait un Jetd’ail itinérant du nom de Gustave. Gustave était le soge le plus idiot de sa génération, et aussi l’un des plus vieux. En effet, il avait fallu pas moins de 60 ans à l’imbécile pour parvenir à ce rang. Aujourd’hui, il n’était qu’un vieillard portant un sobreloser et maîtrisant assez bien la Farce. Cependant, le papy gâteux était toujours aussi débile… Il écumait les tavernes et n’hésitait pas à abuser de sa condition de Jetd’ail pour se faire payer des verres, car dans sa grande bêtise, il n’accomplissait que rarement ses missions avec succès et n’était donc quasiment jamais payé…
Un jour, une petite fille vint le trouver, ou plutôt, toqua à la porte. Gustave s’était enfermé dans les toilettes d’un bar pour méditer tranquille !
G : Comment m’a-t-on trouvé ici ? Qu’est-ce que tu me veux ?
F : J’ai une mission pour vous le Jetd’ail ! On m’a volé mon doudou, et mon papa est propriétaire d’un restaurant, vous serez nourris à volonté si vous le retrouvez !
Gustave s’empressa de sortir, sans même tirer la chasse. L’occasion était rêvée ! Retrouver un petit nounours en peluche tout rose et encore tout dégoulinant de bave, c’était dans ses cordes, surtout s’il y avait un buffet à volonté à la clé ! La petite fille indiqua par où était partis les voleurs : ils s’étaient enfuis à cheval dans le désert.
Le vieux Gustave échauffa ses cannes rouillées puis partit à leur poursuite en déplacement farcique. Il se trompa de route six fois. Gustave était bien incapable de suivre une piste de toute façon, mais sa vitesse lui permit de traverser le désert en long en large et en travers deux fois. Il tomba sur un groupe de trois voyageurs à cheval, portant un nounours rose sur leurs genoux, il leur demanda son chemin puis il repartit. Jusqu’à ce qu’il se rende compte de son impressionnante stupidité… Gustave retrouva les voyageurs et se planta devant eux.
G : Relâchez le nounours, ou vous aurez affaire à moi !
Et pour appuyer ses dires, il déclencha son sobre loser. Les trois bandits lui foncèrent dessus et le piétinèrent à cheval avant de s’éloigner en riant. Gustave se redressa tant bien que mal, fit craquer son dos puis s’élança à leur poursuite. Il finit par réussir à attraper un cheval par la queue. Il l’envoya valser dans le décor puis s’attaqua au deuxième et enfin au troisième et par lévitation, il récupéra le nounours. Les trois bandits étaient maintenant éparpillés autour de lui. Gustave réfléchit un instant puis se dit que la mission était de ramener la peluche, pas les voleurs, il partit donc sans rien demander.
A son retour, le papa de la petite fille lui offrit un somptueux repas, et une fois repus, Gustave s’endormit comme une pierre. Il fut emballé dans une caisse et jeté dans l’océan. Il s’avéra plus tard que les trois bandits étaient en fait des policiers et que le nounours rose servait à faire passer la drogue du restaurateur à la frontière. Gustave lui ne comprit jamais vraiment ce qui s’était passé, il se retrouva simplement au milieu de l’eau, dans une caisse à savon, le ventre bien plein.
FICHE PAR FALLEN SWALLOW
Dernière édition par Jankio le Mar 10 Juin - 19:50, édité 1 fois |
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Administrateur Dictateur Messages : 140 Date d'inscription : 12/05/2014 Localisation : A la chasse au papillons Feuille de personnageNiveau du personnage: 3XP: (591/750)Yens: (25/5000)
| Sujet: Re: Présentation : Jankio ! Sam 31 Mai - 14:06 | |
| Jolie fiche que voilà ! Ta fiche est acceptée, ouais, mon shinki a fait le boulot à ma place, c'cool Si tu as des questions sur Noragami et que tu es prêt à m'entendre en parler pendant des heures, n'hésite pas |
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Webmaster Chapardeur Messages : 309 Date d'inscription : 13/05/2014 Age : 28 Localisation : Où êtes-vous, Maître? Feuille de personnageNiveau du personnage: 3XP: (560/750)Yens: (25/5000)
| Sujet: Re: Présentation : Jankio ! Sam 31 Mai - 14:42 | |
| Rhâlala, tous ces Farceux qui reprennent le test d'entrée de la Farce, ou qui s'en approchent. Le background est vraiment génial, j'ai hâte de te voir à l'œuvre. Nous avons deux Dieux sans Shinkis: Hayato, qui n'en a jamais eu, et Stellane qui vient malheureusement de perdre le sien [Mais ne le sait pas encore!] Je te conseille d'ouvrir un sujet dans le topic "Demandes", afin que l'on puisse t'attribuer un des maîtres. |
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